Interview-Ousseni Zongo (Directeur Africa Akwaba) : « Sekou Cissé va aider les enfants mongoles »
- avril 28, 2017
- Envoyé par : admin
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Est-ce que pouvez-vous présenter à nos lecteurs ?
Je me nomme Ousseni Zongo. Je suis Ivoiro-hollandais. Je suis né en Côte d’Ivoire, mais c’est aux Pays-Bas que j’ai grandi. Je suis le directeur de la structure Africa Akwaba. On est basé à Amsterdam, aux Pays-Bas. On possède également une succursale au Canada. On songe à ouvrir une autre à Abidjan. On est une entreprise qui met en contact des entrepreneurs africains et européens pour faire du business. On aide également les joueurs et les personnalités à devenir de vrais entrepreneurs. C’est dans cette logique qu’Africa Akwaba aide Sekou Cissé au niveau de sa fondation. On l’a aidé à redéfinir sa fondation. La fondation de Cissé n’est pas une fondation classique.
Qu’est-ce qui différencie la fondation de Cissé aux autres déjà existantes ?
En plus d’être le fondateur de Saran Fondation (la fondation s’occupe des enfants mongoles), Sekou Cissé sera avant tout un ambassadeur des enfants malades. Ces enfants ont besoin de protecteurs et de gens pour les aider. Sekou a décidé de jouer ce rôle. Nous, on a décidé de l’y accompagner.
Et que va-t-il concrètement faire pour aider ces enfants malades ?
Les enfants mongoles sont des handicapés intellectuels. Ce sont des enfants qui sont délaissés, marginalisés et mal vus dans la société. Saran fondation va construire à terme une école spécialisée et des centres de jeu à l’attention de ces enfants. On va les sortir des écoles classiques pour leur assurer une meilleure éducation adaptée leur situation. Bien évidemment, Sekou Cissé leur apportera également des soins médicaux et bien d’autres choses encore. On va trouver des fonds pour améliorer la vie de ces enfants malades.
Dans quelles conditions avez-vous rencontré Sekou Cissé ?
Je vis aux Pays-Bas depuis plus de 20 ans ; ce qui fait que je suis un peu connu là-bas. C’est comme ça que Cissé et moi on s’est connu. Depuis lors, je lui donne des conseils, je l’oriente dans ses business et sa fondation.
Il n’est pas souvent facile de travailler avec les joueurs. Comment les choses se passent avec Sekou Cissé ?
D’abord, je dois dire que c’est une relation de confiance qui nous lie. Mais il faut savoir que les joueurs ne sont pas des diables. Ce qui est important, c’est la confiance qui doit lier les différentes parties. Je leur fait confiance à 200%, eux aussi me font confiance à 200%. Les joueurs sont des entreprises, il faut donc les gérer comme on gère une entreprise.
Source: http://www.sport-ivoire.ci/node/13570